L’approche par micro-projets vise, en premier lieu, à contribuer à la conservation et à la gestion durable d’un certain nombre de zones humides méditerranéennes, tout en renforçant par l’apprentissage les capacités des OSC émergentes à agir sur certains sites. L’opérationnalité est privilégiée ; cependant, pour certaines OSC partenaires et selon les besoins, des actions de renforcement des capacités des OSC émergentes à grande échelle, combinant les dimensions participatives et opérationnelles, peuvent constituer un micro-projet.
Les premières vagues de micro-projets sont financées grâce au soutien généreux de l’AFD et du FFEM.
Pour ces 16 premiers micro-projets, le contenu est libre et laissé à la discrétion des OSC chefs de file, en fonction de leurs priorités d’action et des spécificités du contexte national des zones humides.

Les micro-projets ont été sélectionnés selon un certain nombre de critères tels que :

• Contribution à la réponse aux défis spécifiques d’une ou plusieurs zones humides à haute valeur patrimoniale du pays
  ;
• Contribution au développement économique et social durable en relation avec des modes de subsistance qui ne détruisent pas la biodiversité ou les ressources naturelles ;
• Place significative accordée aux femmes et aux jeunes dans le micro-projet ;
• Contribution au changement de comportement (chasse illégale, gestion des déchets et des effluents, gestion des intrants agricoles, etc);
• Contribution à la sensibilisation à l’intérêt et à la valeur du patrimoine naturel et culturel des zones humides ;
• Caractère innovant ou reproductible ;
• Pérennité des résultats après le projet ; consolidation de l’OSC bénéficiaire dans son tissu local,
• et.